1 mai 2006
Les Hommes en général me plaisent beaucoup, de Véronique Ovaldé (2003)
Surprenant. Je n'ai toujours pas compris ce que venaient faire les animaux du zoo, même symboliquement ; certains passages sont sûrement oniriques. L'auteur prend le genre (je ne dis pas lequel sinon ça gâche la surprise) à contre-pied dans le dénouement, ce qui soulage fortement.
La force de la passion pour Yoïm étonne tout le long du roman.
C'est à lire.
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