Le Toucher de la hanche, de Jacques Gamblin (1998)

Quatrième de couverture :

"C'est l'histoire d'un type qui rentre du boulot. Dix-sept ans qu'il rentre. Mais ce soir-là, sa femme lui dit : "Je veux aller danser!" Il l'a crue. Et les voilà partis. Et pas en dilettantes, non, en acharnés ! Rumba, samba, calypso, tango, paso, be-bop,  boogie, valse, anglaise, valse lente, française et musette... et surtout la viennoise ! La suprême. Vertige, lévitation et septième ciel. Acharnés, je vous dis ! Exhibitions et championnats. Lui en smoking, elle en crinoline. Semelles cuir et bride abattue.  Elle est têtue, lui, sagittaire. Ils arpentent les autoroutes et les parquets décapés à la térébenthine. Tout pour l'amour du geste. Tout pour l'amour tout court. Deux astres de swing en fusion... jusqu'à un certain point."

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J'en attendais peut-être plus d'humour et cela rejoint la poésie, à condition d'aimer les phrases nominales, hachées.

Il est rare de lire des textes aussi séduisants sur la valse de salon couplé à l'éloge de la fidélité. La conclusion est peut-être un peu décevante.