L'Envoyé extraordinaire, de William Golding (1971)
Nouvelle tirée du recueil : Le Roi Scorpion.
Extrait de la 4ème de couverture :
Quand un empereur romain décadent et un inventeur de génie se rencontrent, qu'est-ce qu'ils se racontent ? Des histoires de canons, de machines de guerre, de bateaux à vapeur ? Non, la seule chose qui intéresse l'Empereur, c'est l'invention de la cocotte-minute pour pouvoir enfin manger de la viande cuite comme il l'aime...
La 4ème de couverture était alléchante, mais je suis un peu perplexe, et presque déçue. D'abord, je n'ai guère compris que le début et la fin, le développement étant à la fois elliptique et foisonnant, avec des dialogues posés sur des descriptions, dont je ne voyais ni le locuteur, ni le destinataire, ni le rapport. La fin était tellement prévisible que la chute ne m'a pas arraché le moindre sourire.