
Voilà bien longtemps que ce roman est sorti, que son titre aurait dû me faire envie et que j'ai tranquillement repoussé le moment de le lire. C'était un tort : il contient ce que j'aime dans les premiers romans d'Amélie Nothomb (Hygiène de l'assassin, Cosmétique de l'ennemi...), les dialogues en huis-clos contenant arguments et contre-arguments ironiques ou inattendus, pointes perfides.
En ces années-là, on sent encore prégnantes les années de linguistiques des langues anciennes, comme dans Les Catilinaires...
A.N. déclare en 1995...
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