Code Da Vinci, de Dan Brown (2005)
4ème de couverture : Un éminent spécialiste de symbologie de Harvard est convoqué au Louvre pour examiner une série de pictogrammes en rapport avec l'œuvre de Vinci. En déchiffrant le code, il met au jour l'un des plus grands mystères de notre temps... et devient un homme traqué.
Une chasse au trésor palpitante, qui donne envie de voyager, mais dont la fin, au rythme languissant, n'est pas à la hauteur de la totalité roman. Brown a admirablement bien ficelé son histoire, et je n'aimerais pas jouer aux échecs contre lui !
J'ai longtemps pensé que j'affecterais de ne pas le lire (snobisme ?), pour avoir été surgavée d'ésotérisme et de fadaises gnostiques dans l'adolescence, et ce qu'on me disait du roman me paraissait une compilation éculée de ragots véhiculés par les textes apocryphes. Là dessus sont sortis des livres qui faisaient le tri entre les détails archéologiques et artistiques authentiques et les autres, ce qui m'avait encore refroidie.
Mais heureusement, les BookCrosseurs étaient là pour me faire savoir que, comme policier, il se situait parmi les bons romans... et c'était vrai.
Je suis plus réservée sur l'intérêt des personnages (assez caricaturaux) et leurs échanges un peu mièvres, leurs réactions sans nuance...