16 avril 2006
Mercure, d'Amélie Nothomb (1998)
L'auteur a toujours autant de mal à finir ses récits et, malgré sa pirouette finale qui trahit en même temps sa propre perplexité, c'est gênant. Ce n'est pas mon préféré, mais les prises de bec y sont toujours délectables. On commence à voir des constantes...