Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Mots et Images
Mots et Images
  • Ceci est le journal de mes films, de mes lectures, de mes spectacles et, parfois, des expositions où je vais, sans prétention à l'exhaustivité, à la science, ni à l'objectivité. La fusion avec over-blog a supprimé mes "liens amis" et je les prie de m'en excuser. Je suis la première ennuyée...
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Derniers commentaires
Newsletter
10 octobre 2010

Dead Poets Society, de N. H. Kleinbaum (1989)

DPSTitre français : Le Cercle des Poètes disparus. Roman lu en américain.

Dans une petite ville américaine des années 50, certains garçons sont envoyés en pension dans une école à la réputation montante, Welton Academy : avec d'une discipline de fer, et l'interdiction de tout ce qui peut détourner d'études conservatrices (droit, médecine, finances...), les jeunes gens sont sommés de réussir leur concours d'entrée dans des universités prestigieuses.
Mais un nouveau professeur d'anglais brillant mais excentrique, le Pr Keating, vient leur enseigner, avant tout, la poésie. En feuilletant les annuaires de son époque, certains de ses élèves découvrent qu'il fut un trublion, fondateur du Cercle des Poètes disparus. Rassemblant leur courage, ils décident de lui demander ce qu'il en était...


J'en attendais un régal, ce fut une torture. Et ce n'était pas à cause du fait que je l'aie lu en anglais, langue que je ne possède pas complètement. Au contraire, indigent à souhait, dépourvu de la moindre littérarité, le vocabulaire était à la portée d'un élève de Lycée moyen. Kleinbaum a adapté avec sécheresse et ellipses narratives maladroites un scénario infiniment plus talentueux, subtil et nuancé que ce pensum ridicule.
A part Neil et Todd, les élèves sont pratiquement interchangeables ; Charlie Dalton est une espèce de paumé, alors que le film fait nettement apparaître qu'il est une sorte d'alter ego de Keating, qui n'a jamais eu à lui apprendre la transgression... tout au plus de ne pas la pousser trop loin.
Vous voulez aimer l'histoire ou vous avez aimé le film ? Ne lisez pas ce roman.
Dérogation : vous voulez retrouver par écrit les splendides poèmes approximativement (mais pas si mal) traduits dans le film et les relire vous-mêmes.

Publicité
Commentaires
D
... personne qui me dit ne pas avoir été intéressée par ce film. Comme quoi... ! A bientôt, et merci de ton passage ici.
Répondre
D
Bonsoir DonaSwann, je n'ai pas lu roman mais j'avais vu le film que j'avais trouvé interminable et ne m'avait pas du tout intéressée. Et pourtant ce film avait fait beaucoup parler de lui à l'époque. Bonne soirée.
Répondre
Publicité
Archives
Publicité