6 février 2006
La Nuit qui ne finit pas, d'Agatha Christie (1967)
Michael Rogers mène une vie un tant soit peu frustrante, vague et sans véritable but, jusqu'au jour où il trouve l'amour, l'épouse et que le couple emménage dans une maison construite spécialement pour eux.
Enfin lu, mais en une soirée ! Malgré un titre un peu vague, l'histoire accroche immédiatement. A certains moments, quelques frissons et des regards inquiets vers la nuit des fenêtres : le "Camp Gitan" est-il vraiment maudit ?
Une petite déception pour la fin (pourtant assez inattendue, comme le veut le genre) : la réaction outrée du héros ne me semble pas plausible, mais bon... j'ai bien aimé tout de même.
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