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2 août 2014

La Peau de chagrin, d'Honoré de Balzac (1831)

peau_chagrinRaphaël de Valentin, désespéré par sa malchance et le manque de reconnaissance, visite, en attendant que le pont parisien du haut duquel il désire se jeter soit moins fréquenté, une boutique d'antiquités. A mesure qu'il trouve des pièces intéressantes, le vendeur lui présente une peau de chagrin au pouvoir surnaturel : il peut exaucer tous vos voeux... contre une part de votre longévité.

Raphaël accepte le pacte et ne tarde pas à se rendre compte que le pouvoir absolu est bien trop cher payé...


Pourquoi me rappelais-je ce récit comme une nouvelle alors que c'est un long, très long roman ? Si l'on goûte le décalage de ton et de vocabulaire avec celui des jeunes gens de notre époque, on passe un excellent moment, avec, malheureusement, un dénouement sans doute un peu long, mais qui a le mérite de nous laisser songer à une fin différente.

Relecture, mi-audiobook, mi-livre.

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T
A mettre en parallèle, bien sûr, avec le Portrait de Dorian Gray, mais aussi avec les passages de Stendhal où celui-ci décrit ce qu'il lui faudrait "idéalement" pour être toujours satisfait (le privilégié trouvera dans sa poche, chaque matin, je ne sais plus combien de Napoléon; et aura un charme pour se faire aimer, "si besoin", de qui il veut...). <br /> <br /> E ce qui concerne La peau de chagrin, je me rappelle avoir été fasciné, à ma première lecture, il doit y avoir plusieurs décennies, par les tentatives désespérées pour "ré-étendre" la peau qui diminue sans que la "science" y puisse grand-chose... <br /> <br /> (s) ta d loi du cine, "squatter" chez dasola
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